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De quoi vivent les sites de poésie ?
Il y a peu, j'avais visité plusieurs sites de poésie du même acabit que texteBook afin d'étudier leurs chartes de bonne conduite. Cette fois, je les ai classés suivant leur "modèle économique", de quoi ils vivent. Car oui, un site, ça coûte de l'argent ...
1. Modèles économiques
- L'association. Un club poésie crée son site web ou alors des "cyber-poètes" se fédèrent en association. Le site est financé par les cotisations des adhérents.
- La communauté. Un site indépendant et sans existence en dehors du web. Il vit grâce à la pub.
- La vitrine. Une agence de développement web se crée son site de poésie ... Il ne rapporte rien mais sert de carte de visite. C'est un investissement.
- Le bébé. Le site de poésie est une partie d'un gros site. Il ne rapporte pas grand chose et ne coûte rien, hébergé gratuitement.
2. Faire vivre ou rendre vivant ?
L'activité sur un site (nouveaux textes & commentaires) le rend vivant mais le fait-il pour autant vivre ? Oui, dans le cas d'une communauté. Car peu d'activité ? peu de visites → peu de revenus publicitaires. Les participants sont donc encouragés, voire pressés de publier un maximum, de commenter. Attention à la cyberdépendance !
3. texteBook, le luxe de la poésie
texteBook est un des bébés d'eXionnaire. Il ne connaît pas les contraintes matérielles. Qu'importe le nombre de nouveaux textes ou de commentaires postés chaque jour. Tant qu'il sera jugé un minimum utile pour la poésie, il ne sera pas jeté avec l'eau du bain.