je voudrais rendre un simple
hommageles maladies, aveugles, ne connaissent pas les
âgesles accidents demeurent tout autant
déroutantsles aiguilles file comme le reste du
tempune maladie nouvelle apparait et fait des
victimeayons en mémoire ceux qui tombent dans l'
abîmerappelons nous nos chers amis morts aujourd'
huilève les yeux il es la le voi tu qui
luitel une lanterne jamais ne s'
étteindraun fanon lumineux, pour moi il
resterac'était un vrai ami je l'aimais, un vrai
poteon me dit sorter couvert mais la mort n'a pas de
capotela faucheuse te saisi sans t'envoyer de
faxla mort on ne s'en soucie pas mais elle te
taxeelle te prend tout, tes amis ceux que tu
chériselle ne tient qu'a un fil chaque jour elle s'
enchérieprend du grade mais chaque jour devient un peu plus
gravemon ami n'a pas connu la vie, pourtant
bravemerveilleux de talents, il n'avait que quatre
anstout es beau nan? dans la vie tout n'est pas
marrantperde un proche un amis ou un paernt n'est jamais
evidenton regarde en l'air et on pleure comme un
enfantseul, sans armes on se
souvienton cherche à oublier mais tout
revientnous, pailles au milieu des
vaguesa croire que la vie n'est qu'une farce , un
gagueprend la a la rigolade et fait face au
obstacleLa vie est le plus beau des
miraclesEt un obstacle ne doit pas nous achever, car ceux qui sont partis n'ont jamais baissé les
brasils ont été fauchés, si jeunes, si beaux,
lasils nous sourient de leur paradis comme des
pharesla vie peut être fragile tenu par la tige d'un simple
nénupharpourquoi la défié au risque d'y
périrmoins resistante que la poesie que j'
ecrisalors quand tu me parles de la mort je t'
esquivesMais malheureusement je
deriveJe m'en vais entrainé par cet
enfernon il n'est pas sous cette terre, il peut pas s'faire bouffer par les
versje le serrai encore contre moi hier, il est toujours en vie mon amour
enseveliun amour précieux que je veux garder en
viemarque de fidélité, ô toi mon
amiQui a par maintes reprise démontré sa valeur sur le
tatamiToujours équitable dans ta distribution de mawashi
geriJ'ai dis le temps des mots qui ne m'ont pas
guéri,
perdu le temps des rêves de vous regarder
vivreCe texte ne plus rien dire,
sourireRetournez au
thèmeil n'y a que toi que ça gène, si tu y tenais tant, pourquoi l'as-tu pas fait toi
même ?
on a assez de pression, ici le hors sujet c'est l'
évasionil est d'usage que pour un defunt nous nous
taisionsmais le silence n'est pas toujours une suffisante
elogele silence est torture si je ne peux sortir de mon cœur la souffrance qui s'y
logele pire serait l'indifférence, parlons du mort pour que sa vie se
prolongea ceux partis pour le dernier voyage,que la vie a effacé comme une
epongene restons jamais sans cesser de d ce
souveniren attendant, nous aussi, ce jour
venirpour les retrouver, si Dieu le veut, au
Paradiset me si on ne peut les revoir c'est je vous le
disc'est par nos souvenirs qu'ils atteindront l'
eternitéje pense cependant qu'ils sont mieux que nous en
véritél'enfer est sur terre avec ses
chimèresles rivières de ses rêves qui s'effacent cet
embarcadèreQuand souvenirs rimes avec espace vide à quoi s'
accrocher?
perdre la mémoire serait un pied de
nezl'éternité n'est rien , ils ont étaient
aimésUne chose est sur devant la mort on est tous
égaux Il n'y aura pas de passe droit alors soigne ton
égo l'égo dans ces moments là, serait le
zérovoila le fameux
distingovoila le fameux
distingoentre les vrais amis et ceux qui en toi ne voient qu'une poignée d'
lingotsou ces jeunes qui ont succombés si
totsot de ne pas se mefier de ces jaloux, ces
fachooublions nos chargrins oublions nos
mauxarmez-vous des sourires, armez-vous des doux
motscomme le font si bien les
griotspar temps de grandes cérémonies au
villageau village sans
ragel'adieu est un
aurevoirespérant te
revoirafin de rendre hommage à celui qui nous
guideet ne pas avoir peur du
videle parcours est une
etapela destination je m'en
tapeSeul compte le
chemina vrai dire c'est
certainqu'un bon chemin est
carrossableSache : Le destin n'est pas une
fable ;
Demain peut-être, tomberons-
nousil faudra alors eviter le
courrouxet de notre energie en tirer le
sucpour bouter hors d'ici les marquis et les
ducsRegagner avec fougue notre
libertésavoir ensemble
cogiterpour en finir avec la
royautémême si on trouve de sacrées
beautésdans la famille de
Monacola haut sur le rocher, en
echoles Raignier sont
adulésPar les monacos
trinquésEn souvenir de ce
pilierdepuis la route
reamenagéeles accidents moins
nombreux