Mémoires du temps
Le pollen s'insinue, se dérobe partout
Parcoure le temps et, visite chaque rose
Il aime à virevolter, il survient qu'on l'arrose
Et tombe alors, se meut, ensemence leurs trous.
Le brochet, derrière les roseaux, disparaît
Le repos laisse place aux sursauts endiablés
Imitant le minéral, puis il espérait
Voguer sur les flots, sur un rocher attablé.
Il procure un tel plaisir tridimensionnel
Qu'il puise notre énergie, nous achève tous
Ô Voyage, offre nous le plus sensationnel.
Rassemblant l'espace-temps, conduisant à la mort
S'approchant du fossé, jusqu'à ce qu'on les pousse
Voyage éphémère, souvenirs éternels.
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