Par fluck
Texte daté de 2009/06/30
Rivière angélique
Dans mes yeux coule ton âme
Echappée de ton corps froid
Comme la Jacinthe fane
En nous perdure le glas
Nous étions jeunes étoiles
Puis toi merveille filante
Qui, dans une dernier râle
S'enfuit de cette vie ardente
Et chaque nuit dans chaque rêve nous allons
Chaque nuit est une trêve où nous voyageons
Jusque un nouveau réveil où m'accablent ces yeux
Car toujours mon sommeil ravive en moi ton feu.
Commentaires (2)
Posté par
Clchtt
le 23/08/2010
J'suis pas bien sûre d'avoir tout compris, mais j'aime bien quand même.
Posté par
fluck
le 01/09/2010
quant à ce poème, il parle tout simplement de la douleur de quelqu'un qui endure endure la mort d'une autre. la particularité de cette douleur se retrouve dans l'entourage qui peut retrouver l'être décédé dans le comportement du protagoniste. après il y a certaines références comme la jacinthe qui sont plus personnelles et que je n'expliquerai pas ici mais je tiens à dire que ce n'est pas laissé au hasard.^^
Ajouter un
commentaire
commentaire
Le macaron Ladurée
Trois femmes puissantes