Moi poètes ©Ce texte est protégé par un copyright.
Arrache-moi le cœur,
L’organe de mon malheur,
Seul devant une page,
La tête remplie de rage,
Poète d’un univer maudit,
D’un entourage tout détruit,
Des soirées qui se terminent,
Par du sexe qui déprime,
Qui aurais le gout de fumer,
De l’herbe de liberté,
Opium de ma vertu,
Des sentiments qui me tues,
Striptease de l’indifférence,
Sous mes nuages de dépendance,
Et ces seins, et ces seins,
Que je n’est point de dédains,
Mais faudrait pas faire nuances,
Je sens de l’indifférence,
Sous tes yeux malsains,
J’sens que je ne vaux rien,
Alors à quoi sers l’amour,
Ce sentiment de vautour,
Qui suce ma vie,
Jusqu'à je sois détruit,
Sangsue de ma destiné,
Vampire que je veux aimer.
Poète seul devant ca page,
La tête remplie de nuage,
Qui essaie de rester sage,
Devant cet orage.
Et qui maudit la vie,
J’ai donc hâte que ca sois fini.
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