Par hélène
Texte daté de 2010/07/26
C'est le ciel bleu sur les toits de Paris qui m'a inspiré ce texte, l'intemporalité et notre mortalité.
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Danse de la mort©Ce texte est protégé par un copyright.
Le bleu dessus les toits en zinc
A quelque chose qui me dézingue.
On sent si peu l’impermanence,
Le souffle court de la danse.
La danse de mort est solitaire,
Abstraite, perfide, superficielle.
Elle s’insinue dans chaque minute,
Et se propage comme la ciguë.
Pourtant l’on vit sans y penser,
On est bercé d’éternité.
Chaque minute est un trésor,
Et l’on estime vraiment son sort
Que quand il ne nous reste de vie
L’équivalent du temps d’un cri.
Commentaires (2)
Posté par
christanil
le 25/08/2010
J'aime surtout les 2 dernières strophes. Il semble que la strophe 2 manque de rimes?
Posté par
hélène
le 26/08/2010
Merci pour ton commentaire. Il est vrai, la rime n'y est pas fidèle mais n'ai pas su faire mieux...
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