Ensuite, il n'a pas été écrit par strophe. Je me suis contentée d'écrire comme ça venait. Sauf que je suis arrivée comme ça à la fin de ma page, et comme …
Ecrit sans penser
C'est l'histoire d'une vie
L'histoire d'un Sablier
De ce que l'on oublies
De ce qu'on a rêvé.
C'est l'histoire d'une vie
Ou celle d'une journée
Une histoire qui s'écrit
Au fond d'un sablier.
Regarde le sablier
Qui s'écoule vite, vite.
Regardes le sablier,
Repenses au temps passé.
Qu'ai-je donc fait de mon temps?
Qu'ai-je donc fait de ma vie?
De toutes mes joies d'enfant?
De ce que j'ai appris?
A qui ai-je distribué
Les joies de mon passé?
Mes souvenirs d'antan?
Mon savoir, et mon temps?
Qui a reçu un jour
un peu de mon amour?
Qui a pu profiter
De toute mon amitié?
Et maintenant que mon temps
En arrive à sa fin,
Qui donnera de son temps
pour égayer le mien?
Qui est donc cette jeune fille
Qui passe tous les matins
pour aller à la ville
Et me ramener mon pain?
Qui est donc cette enfant
Qui rit sous ma fenêtre,
Cueillant des fleurs des champs
Sans savoir où les mettre,
les colle contre ma joue
Et rit de leur éclat
Puis me colle un bisou
Et me remplit de joie.
Qui sont donc tout ces gens
Qui veillent à mon bonheur,
Qui me donnent leur temps
Sans se soucier du leur?
Repense au Sablier,
Le sable qui s'écoule,
La vie qui est passé,
La vie qui passera,
Et celle qui s'écoule,
Et qui s'enfuit déjà.
Le passé ne change pas.
Le futur t'appartient.
Pour aussi court qu'il soit,
ne mets rien à demain.
Fais tout dès aujourd'hui
Ce que tu voudrais faire.
Une journée est une vie,
Et une de plus qu'Hier.
Commentaires (4)
le sablier du temps est une image intemporelle
pour les deux premières strophes c'est vrai qu'elles ne sont pas très utiles, c'est juste une petite présentation du texte qui suit. Mais j'ai fait ce texte sans réfléchir et quand je l'ai écrit il me paraissait évident qu'il ne fallait pas commencer par la troisième strophe, tout comme il me paraissait impensable de mettre un autre titre que celui-là, même si maintenant je trouve qu'il ne reflète pas bien le texte.
il y a des jours comme ça où je me trouve moi-même bizarre 😉
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