Par chems7
Texte daté de 2010/10/06
L'impression parfois de gravir des monts dérisoires.
Noyé par le terne, sentiment d'inutilité.
Noyé par le terne, sentiment d'inutilité.
Un tel pouvoir
Un tel pouvoir pour n’écrire que des mots pâles,
Sur une feuille souillée de mépris et de râles,
Un tel pouvoir pour n’offrir que plaintes et pleurs,
Sur des thèmes naviguant entre l’âme et le cœur,
Un tel pouvoir quand on n’a même plus la force
De supporter la vie en bombant le torse,
Quand on ne remonte jamais à la surface,
Quand on a l’impression de faire du surplace,
Un tel pouvoir quand les larmes coulent plus que l’encre,
Quand la flamme est infime et que le souffle manque,
Un tel pouvoir en attente d’une étincelle,
Ce rien qui redonnerait à ma plume des ailes.
Commentaires (2)
Posté par
nouga
le 01/11/2010
le texte ne ressemble pas a quelqun qui s'epuise je le trouve d'une grande force pour l'avenir
Ajouter un
commentaire
commentaire
Constat d'un poète qui s'épuise.