Texte daté de 2010/10/17
Tartare
Durant sa vie il fut, général, dictateur
Et fit régner la peur, sur le monde connu
Pour ses actes barbares, fous, inconsidérés
Il fut orienté en bateau jusqu’au Tartare.
Au moment de sa mort, dans les lieux d’en dessous
S’étant fais tordre le cou, il soudoie de son or
Le batelier du Styx, qui, menant son radeau
Traverse du fleuve les eaux que toujours Cerbère fixe
Commentaires (4)
Posté par
le ptit fouille merde
le 06/09/2011
belle fin pour un texte de qualité moyenne (je dis moyenne car mon égo ne supporterais pas que je le qualifie de "médiocre")
Posté par
orphée
le 07/09/2011
Vous avez raison d'avoir un égo considérable car les autres ne l'auront pas à votre place.
J'en sais quelque chose.
Moi en plus, c'est mon orgueil que je ne vois plus au loin tant il a pris de l'avance !
J'en sais quelque chose.
Moi en plus, c'est mon orgueil que je ne vois plus au loin tant il a pris de l'avance !
Posté par
le ptit fouille merde
le 19/09/2011
Mon orgueil je l'ai laissé derière moi et je suis trop paresseux pour retourner le chercher
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L'Homme qui plantait des arbres
A la vue des rubis où dansent des remords,
Lache soudain les rames, se découvre et lui lance :
" Là où je te destine, L'or ne sert pas la chance ! ".