Tout est blanc, alentour, subtile discordance
Et les flocons de ma solitude
Valsent frénétiquement sur une évidence
En courbes de vastes amplitudes
Se reflétaient les rayons de l’astre divin
Sur ces champs d’un immaculé blanc
Quand je sentis sombrer mes espoirs les plus vains
En comprenant ce fait accablant
Car si nous croyons être libres de nos choix
Ceux-ci ne seraient-ils pas, en somme
Le résultat – triste destin qui nous échoit –
De ce que, finalement, nous sommes ?
Et ainsi je voudrais ajouter, pour finir
– Puisqu’à comprendre je vous exhorte –
Que si nos décisions modifient l’avenir
Il ne peut l’être en aucune sorte.
Commentaires (2)
Posté par
Camy
le 06/11/2010
Parfaite acordence (ça ce dis, j'espère?) avec l'hiver, mais je trouve ça un peu triste...pourquoi? aucune idée, peut-être que ça me rappelle des souvenirs...en tout cas, c'est harmonieux, alors bravo.
Posté par
etsivousosiez
le 08/11/2010
Libre de nos choix... éternelle question... muse en tous cas
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