Marcher à sa la limite ... au pas de la vie.©Ce texte est protégé par un copyright.
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Pas d'son, pas d'beat, auteur original, je n'suis pas la reprise d'un autre, son sample.
Qu'est-ce qui me reste du rap, si c'n'est le verbe ample ?
La poésie finalement ... Des mots, quelques mélodies l'on tente ,
mais ... si par la poésie tu souhaites, caresser ton âme, met la donc en attente,
car, souvent le ton rigide, j'ai la rime acide, celles-ci de tes tourmants, n'en sont point pour elle le calmant.
Ici écrit à l'essence de ma plume, par l'arme qu'est le calame, l'érreur à l'hydrocarbure, je crame, je décalamine.
Dans la profondeur de ton insouciance, telle la lame de la lucidité, j'enfonce ma mine.
Peut être à ton regret, mais, à abreuver de celles-ci ton âme , tu n'iras pas en la calmant.
Vivre la vie comme un jeux, ne chercher qu'à, soit disant être heureux,
nous éloigne de ce qu'elle est, sont essence, sa réalité ...
La fuite du réel, des questions existentielles, chez le bon-sens, n'est invitée.
Quand à ton temps qui est compté, et que pour toi, tu doives oeuver; tu es oublieux.
Ton sang, arrètera-t-il de tourner, alors que dans tes actions te seront comptées,
que nez et frond, au sol tu as fais touchés ?
Juste de ta langue, peuvent sortir AdhDhunub minal kabaÏr, ceci ne l'oublis pas.
Combien d'actions as-tu négligés, alors qu'elles t'étaient comptées. Fais le constat, avant de la vie, franchir le pas ...
De mon stylhaut, sur la carne de ton coeur, de poudre je laisse une brulure.
m'allier à ta légerté, ta simplicité, ton insouciance, c'est sure je réfute.
Face à ta troubante frivolité, je préfère prendre la fuite,
car la conscience contractée, ses veines apparentes, on en distingue les nervures.
A ma conscience certaines lectures portées, me pousseraient à la bavure.
Par oppréssion léxicale, il m'aurait été aisé de ... ton imprévoyance atomiser .
Mais t'être une épine, n'est pas mon but, ainsi je reste dans les convenances.
Peut être à nous connaitre, apprendrons nous, avec bon sens ?... Alors mesure ...
... As-tu choisi le moment de ta naissance ?
Penses-tu choisir, le moment de ta vie, oû, de ton âme tu n'auras plus la contenance ?
Assis en bas d'ton hall, les mains dans tes moufles,
tu n'èspères seulement, qu'il te reste du temps, avant ton dernier souffle.
K. Libre
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