Trempé de futil, par ton temps, tu t'es fait trompé.
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D2sormais dans les poitrines c'est, condamnation à jamais du respect,
voile sur les coeurs, le bon sens, beaucoup ont mis en demeure,
plutot que le dire, de raison, on préfère salire son honneur.
Le sens de droiture, la bonne direction, on en connait plus même, les aspects.
Sans honte, j'avoue que certaines obstinations dans le Batil*, m'ont troublées,
J'le répètterai sans cesse, le futil a pour destinée, au jour dernier, de ne plus éxister.
Tenant compte de ceci, comment un contenu inutile, en toi tiens-tu à faire raisonner,
à croire que tu as abandonner, par résignation renoncé, à raisonner.
Si tu te fais contenant de ce futile, ou sera ta place, lorsque lui, sera amené, a ne plus en avoir ?
A croire que du paradis tu es, déja parmis ceux, étant du nombre des reçus,
Tu sais toi même, que nul n'en a payé l'addition, personne ici n'en a encore obtenu le reçu.
Je me suis moi même vu vivre, comme ci un excédant de monnaie j'y avais avancé, en attente d'un avoir, que j'aurais pu percevoir.
A l'heure oû par ses signes, la fin de ce monde, tu peux prèsque-voir.
Je ... ne suis que dénonciateur, de la façon dont on se dirige vers la dernière-heure.
A la quète, du faux, de l'erreur, que nos coeur comme la roue voilée, nous font voir bonheur.
Certains se pensent être conscient, et qu'un échappatoir à leur escroquerie, il faudrait prévoir.
Mais même lorsqu'il caille,
tu consumes, consommes,
une résine que tu combustionnes,
Alors que ton temps s'écaille.
Puis tout va trés vite,
les années s'enchainnent,
de ta cheville à cette vie falsifiée, toujours cette chaine,
Alors que ton temps tu éfrites.
Tu te rends compte, que c'est toi qui te fait rouler,
Shaytan plus d'une fois, tu as prèsque sentis te lècher,
te constatant stagner, parfois de rage tu t'es allumé,
Hors de ton corps, spectateur de toi même, par tes passions tu t'es fais fumer.
Tu ... pensais ton destin feinter,
vers la fin, redresser la barre,
laisser l'ethyl, vivre dans l'utile, délaisser les bars,
mais ... Celui qui impose le décret, tu ne peux esbrouffer.
Aujourd'hui devancé par ton temps,
La mort à ta table s'est présentée.
Pour cette fameuse addition, te dresser.
Epouvanté, oppressé par regret, vers l'autre coté, tu es voyageant.
C'est ... L'unique qui qui maintenant est redréssant,
des torts, qu'en fait, à nous même nous causons.
C'est ainsi que sur ton visage glacé, de la terre humide, nous déposons.
De ce que tu n'avais avancé, par la chaire de ton corps, te voila rembourssant.
L'insoucience, arborant un regard de démence, ton coeur étouffa,
avec véhémence, sans compassion, elle le tua,
avant que la mort te frappe, combien de temps penses-tu, que tu as ?
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