Contre elle, nul ne peut peut peser.
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A tout distraits ou orgueilleux, ayant ouvert la bouche sans reflechir.
C'est contre ceux-la, que je me sens comme obliger de sevir.
A l'obstiné qui devant une vérité,
lui tend sa dignité,
pour qu'elle puisse s'y essuyer les pieds.
De la façon dont souvent nous constatons et avont constatés.
En tentant de se faufiler entre les mailles,
qu'il a pensé y voir. Mais peut importe ou qu'il aille.
La Verite est un bloc compacte,
intègre avec laquelle, on ne fait de pacte,
a travers lequel, nul ne peut, ne serait-ce que penser, à passer,
encore moins le corrompu, le vaniteux, celui qui pourtant vivant, dans sont corps, à deja trepassé.
La pertinence de la Vérité est difficilement supportable, par le faux, l'étroitesse d'esprit, l'orgueuilleux négateur.
Certains même, la vérité, s'affairent à la voiler, tentent d'en être les invétérés voleurs.
Ils auront beau tourner atour d'elle, telle la proie autour de la quelle tourne le vautour.
Certes dépossédée de sont droit, détroussées, pillées, mais d'elles, il restera toujours.
Lorsqu'elle les contredit, ils se révoltent, entrent dans l'eccès, s'exèdent, mais en vint.
Suite à ceci, aucun succès même succincts, ne leur parvient.
Car qui, même le menteur le plus habile,
peut rivaliser face à la vérité, une constance paisible, un fait impassible, indélébile ?
Le négateur à son contacte se désagrège, elle l'éfrite, l'abrase.
Seul devant la Vérité, le mensonge s'écrase.
Daillieur, seul, devant la Vérité, le mensonge s'écrase ...
Cartouche D.S.
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