Par Victor Hugo
Texte daté de 1834
Tiré du recueil "Les Contemplations"
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Mon bras pressait ta taille frêle...
Mon bras pressait ta taille frêle
Et souple comme le roseau ;
Ton sein palpitait comme l'aile
D'un jeune oiseau.
Longtemps muets, nous contemplâmes
Le ciel où s'éteignait le jour.
Que se passait-il dans nos âmes ?
Amour ! Amour !
Comme un ange qui se dévoile,
Tu me regardais, dans ma nuit,
Avec ton beau regard d'étoile,
Qui m'éblouit.
Commentaires (3)
visiteur (Lau)
le 26/05/2009
Mais vous etes vraiment ...
Pff, comment on peut critiquer une oeuvre de Victor Hugo ?
OK vous pouvez trouver ca moche, après tout chacun ses gouts, mais au moins gardez le pour vous et essayer de comprendre ce qui se cache derrière.
N'importe quoi franchement.
visiteur (lilly)
le 20/06/2009
c'est super beau!!!!
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c moche