Par Weesos
Texte daté de 2007
Sur le seuil
La fille est nue sous les habits que l’autre effeuille.
Le temps n’est plus de s’esquiver quand l’homme effleure
Et sa peau malicieuse, et son âme où recueille
Le doute et l’espoir mêlés dans la même ardeur…
Comme on fait patienter l’invité sur le seuil,
Il lui faut se donner empreinte de lenteur,
Hésitante et ravie, pleine et gorgée d’orgueil.
Ce texte figure dans la sélection de aprèslapluie
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