Les oliviers
Décidément, je n'aime plus
ce que le monde est devenu.
J'y ai perdu ma place
et souvent, de guerre lasse,
je cours me réfugier
à l'ombre des oliviers.
Et là, la tête à l'envers,
je goûte aux larmes amères
que la vie a déposées
sur mon coeur blessé...
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