Par hélène
Texte daté de 2010/07/30
Quand on ne peut oublier, il faut coucher sur le papier...
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Métro..nomme moi cet inconnu !©Ce texte est protégé par un copyright.
Parmi tous ces visages, je cherche ton reflet.
Mon oeil est sélectif et mon âme alerte.
C'est toi qu'il cherche quand il s'agite.
C'est toi qui rythme la dynamique.
Mon message meurt dans les limbes d'internet.
Fébrilement, chaque jour, je le vois disparaitre.
Tandis que ton sourire demeure tenace,
J'attends qu'à mes côtés, tu prennes ta place.
C'est écrit, je le sais, tout comme ce poème ;
Je te reverrai, ça j'y crois dur comme fer.
Il ne peut y avoir deux êtres sur terre,
Aussi bien assortis et qui fassent mystère
D'une si belle union, dont j'ai lu la douceur,
Aux abords de tes yeux, pour mon plus grand bonheur.
Lairedubeau
Commentaires (4)
Posté par
christanil
le 31/07/2010
J'aime beaucoup le jeu de mot du titre, et je constate que le métro est un composant important du réel. Aux abords de ses yeux tu as vu ... garde cette image dans ton cœur, chaque fois que te la remémoreras elle t'inondera du même bonheur.
Posté par
hélène
le 31/07/2010
Merci pour ton commentaire..puisse-tu dire vrai...pour cette paire d'yeux !
Posté par
Clchtt
le 01/08/2010
J'adore. Et puis je connais tellement ça, surtout en ce moment... Courage à toi.
Posté par
Doristil01
le 08/04/2011
N'est-elle pas aussi musicienne ? Se servir si savamment de cet instrument en est peut-être la preuve. J'aime bien ce sonnet. A un certain moment de la vie cette expérience semble être inévitable. C'est qui donne l'espoir c'est que la patience est toujours récompensée, si on l'endure sagement.
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