Par hélène
Texte daté de 2012/02/10
Le texte de loup gris (Folie de nuit) semble partir du même "postulat" que ce texte écrit à rêver à mon prochain amour...imaginaire à ce stade !!
Amour imaginaire©Ce texte est protégé par un copyright.
Comment seront tes bras, comment seront tes lèvres,
Si je ne le sais pas, il n’empêche que j’en crève.
Peu m’importe tes yeux, peu m’importe ton corps
Ce qui m’importe à moi, c’est qu’on soit en accord.
Que ta vie soit mon souffle, mon sel et mes envies.
Qu’un seul instant sans toi me soit une folie.
Que tu prennes mes mains, qu’il m’en vienne des frissons
De tous ces beaux chemins, nos cœurs à l’unisson.
Un jour, j’ai cru te voir, là subrepticement
Au milieu de ces gens, tu étais, souriant.
C’est une disposition, une forme d’ouverture,
Qui peut me faire penser que cette conjoncture
Est tout sauf un hasard. C’était un aperçu.
Nos yeux se sont croisés et je t’ai répondu.
Commentaires (11)
Posté par
Evelyne
le 11/02/2012
Grâce à l'imaginaire, comme l'on peut embellir la vie, et être amenés à dire de si jolies choses.
Posté par
hélène
le 11/02/2012
Merci à tous les deux. Le plus difficile reste à faire : rêver est dans mes cordes ; concrétiser, est d'un autre ordre.
Posté par
Loup gris
le 11/02/2012
Il est un fait que sans concertation aucune, nous avons eu la même inspiration., nous serions nous rencontrés dans cette rue ?
Posté par
hélène
le 12/02/2012
La prochaine fois, je revêtirai ma cape (rouge de surcroît)...vous me reconnaîtrez...cette fois !!
Posté par
francois
le 14/02/2012
ce texte me fait penser à la "foule"
ou on frole le rêve on le touche
se forme un nom sur nos bouches
et que la vie vous emporte
ou on frole le rêve on le touche
se forme un nom sur nos bouches
et que la vie vous emporte
Posté par
Within--Lara
le 14/02/2012
Magnifique texte, j'en ai des frissons. J'ai pourtant tendance à étouffer au maximum mon côté romantique mais là, il ne sait résister à l'appel d'un tel rêve.
Posté par
hélène
le 15/02/2012
Merci pour votre ressenti à chacun Within Lara et François.
Posté par
On'X
le 16/02/2012
Quel judicieux contraste entre les deux quatrains débordants de passion et les deux tercets d'une douce certitude.
Tous ont en commun d'exprimer la nécessité de l'autre, qui n'a rien d'imaginaire.
Tous ont en commun d'exprimer la nécessité de l'autre, qui n'a rien d'imaginaire.
Posté par
hélène
le 16/02/2012
Votre lecture y est pour beaucoup chère On'X. Merci
Posté par
rogertibbart
le 24/02/2012
Si après un tel poème, le cœur d'un homme reste insensible...😉
Bonne route poétique !
Roger
Bonne route poétique !
Roger
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il ne reste qu'a trouvé l'unisson
c'est ce que je vous souhaite chére Hélene