Par nomade47
En hommage à Maria, qui m'a encouragé à essayer d'écrire.
Arabica
Une nuit blanche
Avec une musique franche
Un soir au parfum de café noir
Sublimé de promesses d'art
Me laissent ébloui et aveuglé
Comme par un phare
Sensé illuminer mon chemin
Et mon destin, réveillent un chagrin
Et font du lutin
Un fantôme... presque éteint.
Commentaires (3)
Posté par
AYSLANE
le 04/10/2011
J'ai le souvenir d'un café
Servi à même le sable battu
Un peu de sucre, beaucoup de lait,
Sur la natte d'un sol perdu...
J'ai le souvenir de cette odeur,
Emplissant mon esprit embué
par l'or du monde et la chaleur
de ce village de pisé...
Merci pour la réminiscence, cher ami !
Servi à même le sable battu
Un peu de sucre, beaucoup de lait,
Sur la natte d'un sol perdu...
J'ai le souvenir de cette odeur,
Emplissant mon esprit embué
par l'or du monde et la chaleur
de ce village de pisé...
Merci pour la réminiscence, cher ami !
Posté par
nomade47
le 04/10/2011
Merci de m'avoir lu.
Amicalement.
Hamid
Amicalement.
Hamid
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Arabica bien sur