Ce n'est pas parce-que ce n'est pas ça, que c'est exactement le contraire.
Quand tu hésites?
Extrapoles et prends au milieu, tu auras une chance en moins de te tromper. (c'est un plus)
C'est comme quand tu regardes quelque chose et que tu es obligé de regarder ailleurs ou de fermer les yeux pour le faire rentrer …
Au milieu, des fois c'est mieux.©Ce texte est protégé par un copyright.
Quand je te parle de musique dans la tête.
Tu me parles de cordes et de baguettes.
Un coup je la vois bleue, un coup tu la vois rose.
Mais on sait que l'on parle de la même chose.
Ca change l'angle de vision.
C'est bien la communication.
Si on voyait tous midi à 14 heures,
A tous, on serait "tous les meilleurs".
Quand on parle au second degrés,
Il faut savoir comment ça va être pris au premier.
Celui qui agit le premier n'a pas forcément gagné.
Des fois, ça ne va pas au second, on a tout écouté.
En premier, Il faut couper au milieu.
En second, tu choisis celui que tu veux.
C'est simple, quand tu divises par deux,
Tu y vois déjà beaucoup mieux.
Divise le tout par lui-même,
Tu n'as plus qu'un seul problème.
Plus t'en fais, plus t'en as a faire. Moins t'en fais, plus il t'en restes a faire.
Être c'est commettre! De toutes façons et de toutes manières.
Un, ça ne fait pas mal.
Un après l'autre ce n'est pas normal.
Quand on n'a pas le choix.
On fait avec ce qu'on a.
Une fois de plus j'ai fait confiance a la chance.
Elle n'était pas mortelle grâce a l'ambulance.
Parfois, il ne suffit pas de tourner la page.
Il faut changer de livre pour ne pas finir en cage.
Il n'y a que le néant qui s'oppose à la ronde.
Je crois que ce n'est pas évident pour tout le monde,
Quand tout est relatif, tout est relativement opposé.
Je prends au milieu quand je ne sais pas où aller.
Si "tout" est relatif, "rien" est franchement contrarié.
Il faut dire les choses comme elles sont. Je ne comprend pas tout mais je sais.
Je sais que je ne suis que... mais je ne sais pas qui? Encore moins qui tu es?
J'espérai que l'avenir me l'aurait dit sans crier.
Une chose dont on ne sera jamais rassasié, c'est le savoir.
Il ne faut pas plusieurs vies.
Pour que l'on ait compris.
Que l'on n'est pas sûr de ce que l'on croit qu'il y a après le noir.
Il me faut le double de la moitié pour être entier.
L'inconscient, il faudrait lui parler.
Si tu le vois, dis-lui de la boucler.
Il lui faudrait savoir l'ouvrir et la fermer comme un robinet.
On dirait qu'on lui a dit de se taire.
Pendant ce temps j'explore ma pensée.
Après j'extrapole, je crois que c'est vrai.
Si elle n'est pas paire, il n'y a rien a faire?
Si ! On peut la prendre ou la laisser.
Ou carrément l'oublier.
Les possibilités sont infinies.
Les tiennes et les miennes y compris.
La confiance des autres ne me dit rien.
Je préfère garder mes maux et mes biens.
Par rapport à une des moins grosse, elle est beaucoup plus petite.
Mais par rapport à une des plus petites, elle est grosse, on peut le dire.
On est tous les mêmes, d'accord.
J'ai les mêmes remords.
Si tu n'apprends pas a vivre, il y a la mort.
Chacun se fabrique son propre sort.
Même si parmi le grand sort il y a eu distribution.
Il faut faire avec ce qu'on a, de toutes façons.
Je n'en ai pas de reste mais j'en ai bien assez.
Je suis né avec. Ca ne va pas me lâcher?
J'explore puis j'extrapole ma pensée.
Je prends au milieu et je crois que c'est vrai.
Je constate que tout est relativement opposé.
Avec l'équilibre que j'ai? Je ne devrais pas tomber.
Il faut être conscient que la conscience n'est pas absolue.
Tout est relatif comme l'aurait dit un tireur de langue chevelus.
Commentaires (4)
Merci pour ton commentaire.
Je suis plutôt du genre vieux recueil poussiéreux, sonnets ancestraux et alexandrins... Mais, là, tu te prends la tête (dans le bon sens du terme) en lisant ton texte, c'est tout bonnement un casse tête artistique : c'est emmêlé mais très concret et chaque vers est une énigme à comprendre et à résoudre avant de passer au suivant...
Je vais le relire, tiens.
C'est vrai que "je me suis bien pris la tête"
Je la reposerai relativement mieux
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