Par Lenore
Un texte qui m'aura été inspiré, je le reconnais, par le poème de quelqu'un d'autre.
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Mes pensées frissonnaient d’effroi,
Et derrière mon dos sonnait
Le sinistre glas d’un beffroi
A la gloire d’un Dieu défait.
Hui, l’ire est femme du chagrin,
Et les égoïstes passants
Protègent avidement leurs biens ;
– Dans ma main, le soupir du vent –
Commentaires (2)
Posté par
hélène
le 22/06/2011
C'est poétiquement étonnant ; de forts belles associations, inattendues, mais réussies, le tout dans un climat...de ruelle, c'est en tout cas mon ressenti personnel.
Posté par
On'X
le 23/06/2011
Vous êtes riche de ce soupir
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