Cette image, elle me sera toujours chère à moi,©Ce texte est protégé par un copyright.
Cette image, elle me sera toujours chère à moi,
Et ce rêve dans l’infini espoir, et qui s’obstrue à ma vue,
Comme d’apercevoir notre amour, dans un horizon ultime.
J’aimais être ici à côté de toi, et de contempler le ciel,
Dans nos propres pensées, nous créons des espaces infinis,
Plus vaste dans le silence des choses humaines,
Et vous amour en seriez-vous apaisés, de ce cœur qui vous manque.
Lorsque je perçois le vent, qui souffle sur votre chevelure,
Et je regarde l’univers, le comparant à ce silence infini
Amour avec ton corps immaculé, te souviens-tu ! De l’Amour perpétuel
Et des saisons mortes succédant au temps vivant,
Et toi et moi amour, enfin dans une mer immense
Ou nos pensées étaient noyées, dans ce naufrage
Et nos deux corps s'éteignirent enlacés ensemble.
Et ce rêve dans l’infini espoir, et qui s’obstrue à ma vue,
Comme d’apercevoir notre amour, dans un horizon ultime.
J’aimais être ici à côté de toi, et de contempler le ciel,
Dans nos propres pensées, nous créons des espaces infinis,
Plus vaste dans le silence des choses humaines,
Et vous amour en seriez-vous apaisés, de ce cœur qui vous manque.
Lorsque je perçois le vent, qui souffle sur votre chevelure,
Et je regarde l’univers, le comparant à ce silence infini
Laure avec ton corps immaculé, te souviens-tu ! De l’amour perpétuel
Et des saisons mortes succédant au temps vivant,
Et toi et moi amour, enfin dans une mer immense
Ou nos pensées étaient noyées, dans ce naufrage
Et nos deux corps s'éteignirent enlacés ensemble.
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