Par bernard138
Texte daté de 2012/01/20
Comme une nuée blanche,©Ce texte est protégé par un copyright.
Bien des fois j'ai vu (on me croirait à peine).
Une jeune Ondine au milieu des prés verts,
Dans le cristal de son corps, sous l'ombre d'un chêne ;
Comme une nuée blanche, qui passe dans les airs,
Comme dans un ciel pur , ou elle fût une étoile brillante ;
Et plus je me retire, dans des endroits secrets,
Et plus aussi ma pensée amoureuse, devint ardente.
Laure, avait ce corps plein d'attrait.
C'est ainsi que parfois mes rêves se prolongent.
Enfin, le brouillard se dissipe et plonge,
Sur moi, qui appuyée si tristement,
Dans ma tristesse, qui m'a désabusé trop vite,
Immobile et glacé, j'attends son image et je médite,
Et j'écris mes vers en pleurant.
Commentaires (2)
Posté par
nouga
le 20/01/2012
je lis tes textes , ta constance pour Laure , marque un amour du moins une passion devorante
Posté par
Evelyne
le 21/01/2012
Amour qui n'en finit pas de finir et la personne aimée toujours dans le cœur imaginée dans les endroits les plus improbables et romantiques.
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