Par On'X
Texte daté de 2012/11/11
Un texte comme un concerto en trois mouvements : l'exposition Chagall à Roubaix, une photo retrouvée, et Nancy Sinatra.
I was five and he was six...
I was five and he was six...
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Concerto
Le tableau,
Les couleurs embrassées,
Quand Sirène s'envole en épouse des cieux,
Tzigane le violon nous la chante audacieux,
Folle danse, enlacés.
Bang bang ! He shot me down.
La photo,
Noir et blanc le portrait,
Le regard azuré de promesses, ô tes yeux,
Ce sourire d'automne, caresse de l'adieu,
Fol amour, en retrait.
Bang bang ! My baby shot me down.
Commentaires (6)
Posté par
On'X
le 12/11/2012
C'est tout à fait ça.
Tout comme vous l'avez fait dans votre texte Catastrophique, le sens précis de mon texte m'appartient seule. A défaut d'identification, j'espère simplement qu'il provoque quelque chose chez l'autre qui y mettra ce qu'il voudra bien y apporter.
Merci pour votre lecture et analyse.
Tout comme vous l'avez fait dans votre texte Catastrophique, le sens précis de mon texte m'appartient seule. A défaut d'identification, j'espère simplement qu'il provoque quelque chose chez l'autre qui y mettra ce qu'il voudra bien y apporter.
Merci pour votre lecture et analyse.
Posté par
Lily
le 12/11/2012
C'est plutôt moi qui dit merci pour le plaisir que je prends à lire tes textes.
Posté par
Loup gris
le 12/11/2012
Chacun peut y trouver son compte comme dans la peinture moderne, on aime ou pas, j'ai aimé et je ne dirai pas pourquoi!
Posté par
On'X
le 12/11/2012
Votre image est tout à fait pertinente, cher Loup. Je suis toujours un peu dubitative face à une oeuvre moderne, et pourtant, je suis capable de dire si j'aime ou non. Kandinsky, par exemple, est un de mes peintres préférés, depuis longtemps, et je ne sais toujours pas pourquoi...
Merci pour votre lecture et votre éclairage.
Merci pour votre lecture et votre éclairage.
Posté par
hélène
le 13/11/2012
Oui j'aime aussi, j'aime votre voyage, le voyage que vous nous proposez dans deux univers différents, je me suis laissée transportée pour une destination inconnue : je pense que c'est le même processus pour une oeuvre moderne : on part, on ne sait pas toujours bien où, mais on part ! Merci pour cette expédition rétrospective.
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commentaire
Le mythe tragique de l'Angélus de Millet
Ca donne un mélange personnel difficilement compréhensible dans son sens précis, mais délicieusement interprétable.
Tu nous donnes ici un texte-miroir à sentiment en fait.