Par malouino
Texte daté de 2011/05/12
Définir la tension de l'amour, la différencier de celle du désir, ce n'est pas toujours facile.
Mais sommes nous bien toujours maîtres de nous-mêmes en cette matière ?
Chacun aura sa réponse, ce poème donne la mienne.
Merci de vos premiers commentaires. J'ai un peu retouché le poème depuis.
Mais sommes nous bien toujours maîtres de nous-mêmes en cette matière ?
Chacun aura sa réponse, ce poème donne la mienne.
Merci de vos premiers commentaires. J'ai un peu retouché le poème depuis.
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condition humaine
Quand les amants de leurs deux bras s'enserrent,
y voient-ils un beau chemin de lumière ?
Une matière qu'à deux corps ils brûlent ?
Ou l'horizon clos dès le crépuscule ?
Nevermore a déjà dit le poète,
S'y risquer, sans doute y perdre la tête.
Que seraient nos aventures humaines
Si seule, Raison coulait dans nos veines ?
Rugir, gémir, c'est encore exister,
La place au plaisir, sa réalité,
sont issues de nos seules volontés,
habillées de nos âmes envoûtées.
Laissons, laissons nos amours s'installer.
Commentaires (3)
Posté par
nouga
le 12/05/2011
je rejoins le comm precedent
Posté par
hélène
le 13/05/2011
"Laissez, laissez mon coeur s'enivrer d'un mensonge,
Plonger dans vos beaux yeux comme dans un beau songe" et laissons, laissons nos amours s'installer. Belle phrase, et très juste, à mon sens. Découvrir l'autre peut prendre du temps, il faut savoir se l'octroyer.
Heureuse de vous relire cher Malouino.
Plonger dans vos beaux yeux comme dans un beau songe" et laissons, laissons nos amours s'installer. Belle phrase, et très juste, à mon sens. Découvrir l'autre peut prendre du temps, il faut savoir se l'octroyer.
Heureuse de vous relire cher Malouino.
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commentaire
L'amour est le propre de l'Homme.
Nul doute qu'il faudrait revoir certains de nos classiques...