Par hélène
Texte daté de 2011/10/15
Encore un texte expiatoire...mais il a une histoire !! Commencé il y a plusieurs mois, puis abandonné, je viens de le terminer (avec difficulté) n'étant plus, vous l'aurez noté, dans les mêmes dispositions...mais comme j'en aimais bien le début, j'ai voulu lui donner une suite...qui vaut ce qu'elle vaut !
Décharge d'enfer©Ce texte est protégé par un copyright.
Quand nous avons compris, que l'un et l'autre étions
Unis de poésie, les mots, comme des ions,
Diffusant la magie, en guise d'énergie ;
Deux amants éperdus, en quête d'embellie.
La nuit succède au jour et toutes les turpitudes
S'éveillent, mon amour ; elles ne sont que prélude
Aux heures troubles de l'aube, face à ce lit désert,
Je veux t'offrir l'ode, te couvrir de mes vers.
Ils ne coulent que pour toi, d'aucun n'a jamais pu,
Susciter cet émoi, flot ininterrompu
D'un amour se sachant, condamné par les heures.
Ton onde est bien passée ; n'était-ce pas qu'un leurre ?
De songes j'ai vécu, et je ne le veux plus.
Le courant est passé, il n'y a plus de jus !
Commentaires (5)
Posté par
Evelyne
le 03/02/2012
Je ne connais pas la génère de cette histoire, mais avec le titre fort bien choisi et votre explication, on peut savourer le texte et le comprendre.
Posté par
nouga
le 03/02/2012
surement que la fusion de deux êtres donne a leur interprétation toute la dimension passionnelle
bravo Hélene
bravo Hélene
Posté par
On'X
le 16/02/2012
Il est vrai que dans vos textes récents, vous avez plusieurs fois abordé cette dimension de "l'expiation".
Je préfère y voir une expression, forte dans les sentiments exprimés, et qui vous est nécessaire.
Tant mieux pour nous, lecteurs, car vous nous offrez des émotions parfois ambivalentes mais intenses.
Je préfère y voir une expression, forte dans les sentiments exprimés, et qui vous est nécessaire.
Tant mieux pour nous, lecteurs, car vous nous offrez des émotions parfois ambivalentes mais intenses.
Posté par
Jacques Raffin
le 15/05/2012
J'aime bien ce poème, parce qu'il ne finit pas bien, nous montrant ainsi la nature temporaire du bonheur humain...
Posté par
hélène
le 16/05/2012
Merci de m'avoir permis de le relire, ce d'autant qu'aujourd'hui j'ai fait une découverte : il n'y a rien à attendre, car rien ne viendra...
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