Dingo Land
La fumée des pétards s’élève de Dingo land
Les fous tournent aux drogues douces, s’en ont marre de la dure,
Si les autorités voudraient bien qu’on les pende
S’ont autre chose à penser, enfermés entre quatre murs.
Ils déambulent dans le parc, ils zonent à la cafète
Les plus en cane d’entre eux peuvent sortir une paire d’heures
Et les plus cachetonnés voient des potes dans leurs têtes
On laisse à l’Aquarium ceux qui font vraiment peur.
Dans le parking privé, les tires qui coutent du fric
Sont garées sur les places des geôliers psychiatriques.
Leurs salaires coutent un œil, s’ont un boulot tranquille
Ils fabriquent des zombies à grands coups de pastilles
Ils passent en courant d’air, les fantômes volubiles
Dans leurs jolies blouses blanches, à se toucher la bille.
Commentaires (3)
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voila un endroit qui n'a de paradisiaque, que le nom