ELEGIE D'AMOUR©Ce texte est protégé par un copyright.
ÉLÉGIES, d'Amour.
Nulle raison ma Laure, de s'alarmer,
Confiante tu te livres aux délices d'aimer.
O toi l'amant ! L'ami contemplatif, qui s'ennuie.
Si ton destins vers Laure, t'eurent permis la vie,
L'une par ton attachement amoureux, et te parlant,
d'amours, tu n'aimais que les plaisirs nonchalants,
Ensemble nous étions aux cieux du ciel, mon amoureuse .
Vers la vie charnelle, si pure et voluptueuse.
Mais si nous ne vivons, et ne mourons qu'une fois,
Devrais-je ! Me plier devant tes larmes qui m'apitoie,
Tourmenter par cette vie, à te perdre sans cesse.
Oppressé par mes tourments, pour Laure mon ivresse.
L'ardeur de t'aimer, suivait le sentier inaltérable de l'amour,
Laure tu me fis voir des clartés mortelles ; Et combien peu de jours !
Demeure l'aurore, de ton corps, et quelle serait ma vie ?
Dès l'instant où Laure, me doit être ravie,
Que je disparaisse. Sans elle ici-bas rien n'est doux.
Le vent sur ton corps, dont les caresses me rend jaloux.
Sont au sommet des cieux, le soleil de ton corps remonté,
Rafraîchit dans mes vers, les chaleurs de l'été.
Secoue et fait voler mes vers, dispersés dans les vents,
Tous ces feuillages de pensées mortes, font place aux vivans.
Tes rêves ma laure parcourt le ciel, et te fait courir devant elle.
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