Par boubou
Texte daté de 2011/09/02
(Toi dont je ne peux dire le nom)
Enfin je te retrouve Inspiration.
Vois ma mie comment tes sens m'ont manqué.
Yeux, bouche, nez, oreilles, seins parfaits,
Billevesée que tout ça ! Tu es fiction.
Ennivrée par les vapeurs de l'alcool,
Désireuse de m'offrir la quintessence,
Désesperée devant mon impuissance,
Aime moi de tout ton corps, comme une folle.
Regarde ! Ton nom à jamais gravé,
Enfoui à vie au son de ce poême,
Voyage au sein de mon ame de bohème.
Yahvé lui même t'ordonne. Soigne ce blessé.
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