Par hélène
Texte daté de 2012/01/02
En dizain, c'est dit !©Ce texte est protégé par un copyright.
Je vous cherche souvent dans les rues et les brumes
Des matins dispendieux d’un Paris qui s’enrhume.
Au milieu de ces gens qui pour moi ne sont rien,
Je vous vois, mon amant, inaudible refrain.
Souvenirs sur ma peau d’un amour trop fougueux,
Ceux qui laissent place au jour et aux matins brumeux.
La lumière, pâle encore, s’aventure peut-être
Mais se joue bien du temps et du cœur de deux êtres.
Là, j’adopte un passant et ferai de ce jour
Les dernières heures de fièvre d’un impétueux amour.
Commentaires (7)
Posté par
On'X
le 03/01/2012
L'amour, l'amant, leur souvenir : ils sont toujours là, en nous, et à l'instar d'une Marguerite Duras, ils vivent en nous et les faisons vivre, toute notre vie.
Posté par
Verbo
le 03/01/2012
Joliment dit en un dizain,
Dessiné comme un beau fusain:
Quand le monde autour de soi change,
Pourquoi être en amour constant ?
Après l'hiver vient le printemps,
Où l'autre vous paraît un ange.
Mais ne vous découvrez pas tant:
Coeur nu, à Paris l'on s'enrhume,
Il s'y traîne un goût d'amertume.
Dessiné comme un beau fusain:
Quand le monde autour de soi change,
Pourquoi être en amour constant ?
Après l'hiver vient le printemps,
Où l'autre vous paraît un ange.
Mais ne vous découvrez pas tant:
Coeur nu, à Paris l'on s'enrhume,
Il s'y traîne un goût d'amertume.
Posté par
francois
le 03/01/2012
ne me cherchez plus chère Hélène
je suis là ne me voyez vous pas
près de vous je me promène
avec cette brume je presse le pas
vous pouvez m'adopté
moi passant qui ne fait que passer
je suis là ne me voyez vous pas
près de vous je me promène
avec cette brume je presse le pas
vous pouvez m'adopté
moi passant qui ne fait que passer
Posté par
silverfox199
le 13/01/2012
Résumé mélodieux,
exprimé en douzain
Aux matins dispendieux,
le début d'un refrain
Votre hymne à l'amour bleu
est quelque peu chagrin
Sublimant les passions,
la fougue des amants
Le temps d'une chanson,
vous passez au suivant
Ou est-ce dérision,
vous suiviez un passant
Ghjslain
exprimé en douzain
Aux matins dispendieux,
le début d'un refrain
Votre hymne à l'amour bleu
est quelque peu chagrin
Sublimant les passions,
la fougue des amants
Le temps d'une chanson,
vous passez au suivant
Ou est-ce dérision,
vous suiviez un passant
Ghjslain
Posté par
hélène
le 13/01/2012
Merci à tous pour vos commentaires.
J'attendrai le printemps pour me défaire de mes atours pour éviter le mal...d'amour.
Mais alors, les passants n'auront qu'à bien se tenir.
M.de Musset disait : "La parure est une arme et le bonheur suprême, après qu'on a vaincu, c'est d'avoir désarmé."
Peut-être le printemps vaincra et allégera, mes peines...?
J'attendrai le printemps pour me défaire de mes atours pour éviter le mal...d'amour.
Mais alors, les passants n'auront qu'à bien se tenir.
M.de Musset disait : "La parure est une arme et le bonheur suprême, après qu'on a vaincu, c'est d'avoir désarmé."
Peut-être le printemps vaincra et allégera, mes peines...?
Posté par
Evelyne
le 16/01/2012
Le passant adopté aura de la chance.
Et chacun doit savoir saisir sa chance dit-on.
Et chacun doit savoir saisir sa chance dit-on.
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que l'on se presse de regagner son logis
Amitiés