Par animaldan
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En zonzon
J’ai connu contre toute raison
Deux ou trois matons ou matonnes
Qui, encore ça m’étonne
S’étaient préservés « humains »
A qui demain
Je serrerais la main
Si jamais
–mais ça m’étonnerait-
Demain je serrerais la pogne
Si au coin d’un zinc
Je rencontrais leur regard dingue.
Commentaires (4)
Posté par
On'X
le 21/03/2012
Se dégagent de votre texte une humanité simple et essentielle, et une espérance salvatrice, espoir d'un espoir.
Posté par
Jacques Raffin
le 21/03/2012
"À l'ombre de la République", un documentaire sur les prisons, qui passait encore récemment au cinéma, et où les détenus disaient la même chose...
C'est rassurant.
C'est rassurant.
Posté par
AYSLANE
le 21/03/2012
C'est comme partout, parmi les flics, les psy-chologue/chiatres en institution, même les huissiers... ils ne sont pas TOUS pourris...
Rassurant, je ne sais pas... en tout cas ça prouve que la relativité existe partout...
Un documentaire très court et à voir, "Si la prison était une ville" :
http://www.dailymotion.com/video/x7oskm_si-la-prison-etait-une-ville_news
Rassurant, je ne sais pas... en tout cas ça prouve que la relativité existe partout...
Un documentaire très court et à voir, "Si la prison était une ville" :
http://www.dailymotion.com/video/x7oskm_si-la-prison-etait-une-ville_news
Posté par
nouga
le 22/03/2012
fermant les yeux , ma prison devenait une ile
il était temps que j'apprenne à nager
il était temps que j'apprenne à nager
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