envol
Ô mes étourneaux, justes plumes, braillards magnifiques ; je m'éparpille en vous pour mourir tous les jours, m'habituer à l'émiettement, aux salons du vent ;
et pour résumer en fiente l'avenir.
Commentaires (3)
Posté par
nouga
le 03/09/2011
la nature dans toute sa splendeur, ou l'eternel recommencement
Posté par
anaé
le 03/09/2011
je vois bien la nuée d'étourneaux piaillant et pleins de vie! la fiente c'est aussi la vie!
alliance du sombre et du gai
de l'union et du dispersement
oui j'aime ce texte qui heurte
alliance du sombre et du gai
de l'union et du dispersement
oui j'aime ce texte qui heurte
Posté par
On'X
le 04/09/2011
Etourneaux, myriade de semelles de vent.
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