Et alors, je me suis baigné dans tes poèmes .©Ce texte est protégé par un copyright.
La tourmente aura divinisé mes rêves anonymes.
Plus légère et amoureuse, tu auras dansé sur les flots
D'un désir d'amour éternel, sur de hautes cimes
De ton corps embrasé, et tes yeux en seront des joyaux.
Plus douce encore sera ta peau, je te l'assure
verts tes yeux, que le soleil a dépeints
Et ces taches de rousseur, sur ton visage d'azur
Me lavera de mon désespoir, d'un amour si empreint
Et alors, je me suis baigné dans tes poèmes
Un empire d'ondes, d'astres lactescents,
Flammes dévorantes sur l'azur vert, d'un amour blême
La tourmente aura divinisé mes rêves anonymes.
Plus légère et amoureuse, tu auras dansé sur les flots
D'un désir d'amour éternel, sur de hautes cimes
De ton corps embrasé, et tes yeux en seront des joyaux.
Plus douce encore sera ta peau, je te l'assure
verts tes yeux, que le soleil a dépeints
Et ces taches de rousseur, sur ton visage d'azur
Me lavera de mon désespoir, d'un amour si empreint
Et alors, je me suis baigné dans tes poèmes
Un empire d'ondes, d'astres lactescents,
Flammes dévorantes sur l'azur vert, d'un amour blême
Imprégnant son corps d'étoiles, à coups de délires.
Mouvements lents, où l'amour rutile le jour,
Plus fort encore que l'ivresse, plus vastes les lyres
Qui fermente les rougeurs âcres de l'amour.
Passions, d'embrasement, d'éclairs, et de trombes.
Et nos amours fougueux, au clair de lune le soir,
L'aube magnifiée de l'amour, comme un peuple de colombes
J'ai vu quelquefois l'amour, qu'un homme a cru apercevoir
Mouvements lents, où l'amour rutile le jour,
Plus fort encore que l'ivresse, plus vastes les lyres
Qui fermente les rougeurs âcres de l'amour.
Passions, d'embrasement, d'éclairs, et de trombes.
Et nos amours fougueux, au clair de lune le soir,
L'aube magnifiée de l'amour, comme un peuple de colombes
J'ai vu quelquefois l'amour, qu'un homme a cru apercevoir
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