faux paradoxe
Je ne pleure jamais autant que quand je pense aux personnes qui étaient si heureuses que je sois heureux que notre bonheur c'était nous.
Commentaires (2)
Posté par
hélène
le 02/08/2012
Quand c'est au passé, on pleure forcément.
Posté par
Jean-Mi
le 02/08/2012
Tout est passé, chère Hélène, aussi les larmes ont-elles un bel avenir.
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