Ma grande soeur, mon amie, mon modèle.
Ce texte est un peu naïf et maladroit, …
Fleur
Fleur,
La beautée.
Douce,
Et colorée.
Le charmant végétal,
Naquit un jour de printemps
Enveloppé comme d'un châle,
De sa peau rose en bourgeon.
Jour fêté par la famille :
Une merveille avait survécu !
De grands yeux qui brillent,
Petit être encore inconnu.
La tige a grandit bien vite,
Traversa bien des années...
Et comme le sommeil qu'on quitte,
Le bourgeon s'est réveillé.
Mignonne, encore innocente,
La fleur a pointé ses pétales froissés
Vers la route d'une adolescente.
Encore plus vite, elle grandissait...
La fleur s'est épanouie !
De beauté elle rivalise
Avec toutes les plus jolies,
Et les plus beaux la courtisent.
Maintenant 17 ans qu'elle est là,
Elle brille, et sans cesse elle croit.
Doux pétales irisés,
Redoutables piques pour se protéger.
Un poème roulé au creux de tes racines,
Ma soeur, mon adorée, et juste en bas, je signe
Pour ne pas que tu oublies le jeune bourgeon
Qui encore grandit sous l'ombre de ta chanson.
Ta chanson qui chaque jour sous ta plume,
Dévoile un vers de plus : écrit qui te parfume
De cette senteur exquise émise par les pétales
De ma soeur, la mienne, Ô charmant végétal !
Commentaires (4)
Alors je m'excuse pour la métrique bancale, j'ai abandonné les alexandrins trop formels pour ce texte.
Je m'excuse pour la maladresse des rimes, l'ensemble n'est peut être pas très cohérent.
Mais ce texte a une valeur sentimentale énorme, et c'est, je l'espère, ce qui lui donne son intérêt.
commentaire
Les 2 premiers quatrains se suffisent presque pour traduire votre sentiment à l'égard de votre Fleur.