Par Jacques Raffin
Texte daté de 2012/02/25
Un petit frère du premier, parmi d'autres…
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Il ne peut plus payer ? Mais foutez-le dehors !
Mon avocat m’a dit que dans les mois d’été
Mettre à la rue l’infâme qui s’est trop endetté
Oblige à quelques ruses… mais préservez mon or !
Boutez donc l’importun hors des murs de mon bien !
Il en a du culot d’oser tant s’accrocher,
Lui et ses trois marmots, comme moules sur un rocher…
Il faut quérir les flics, l’huissier… Dieu sait combien
Est-ce que va me coûter la vilaine expulsion ?
Retenez-moi, ma mie, de mort, j’ai des pulsions !
Commentaires (3)
Posté par
AYSLANE
le 27/02/2012
Excellent. J'aime. Bravo.
Posté par
Evelyne
le 29/02/2012
En dehors de l'exercice, dont maintenant, on connaîtt vos penchants, qui à force fera un gros recueil,
Le sujet est d'actualité. Il l'a toujours été, il me semble, mais le voir ainsi tous les jours dans les médias, fait terriblement mal. Et ce "cri" est bienvenu.
Le sujet est d'actualité. Il l'a toujours été, il me semble, mais le voir ainsi tous les jours dans les médias, fait terriblement mal. Et ce "cri" est bienvenu.
Posté par
Jacques Raffin
le 29/02/2012
Merci.
Ce sont toujours les mêmes qui ont la parole... Ceux qui se plaignent.
Il m'a paru intéressant de faire parler les autres. Ceux dont on peut se plaindre... et qui le vivent très bien.
Tellement bien qu'on les envie et qu'une majorité ne rêve que de prendre leur place. C'est ça qui fait tout le charme...
Ce sont toujours les mêmes qui ont la parole... Ceux qui se plaignent.
Il m'a paru intéressant de faire parler les autres. Ceux dont on peut se plaindre... et qui le vivent très bien.
Tellement bien qu'on les envie et qu'une majorité ne rêve que de prendre leur place. C'est ça qui fait tout le charme...
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