Par hélène
Texte daté de 2012/09/17
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L’aube était grise et frémissante
Toi tu dansais dans le matin.
Un brin puérile et insouciante
Comme pour braver ce malandrin.
Telle une bouffée d’air odorante
Tu draines et laisses sur ton chemin
Outre l’image par trop troublante,
Un souvenir presque incertain.
Mais j’ai voulu le rendre mien,
Tangible dans l’évanescence,
Moi, dont tu fais ton bohémien.
En m’approchant de ta mouvance,
Tu disparais dans le lointain
Seul, là je reste dans mon errance.
Commentaires (2)
Posté par
Etreneant
le 19/09/2012
Magnifique mirage...
Posté par
Loup gris
le 27/09/2012
C'est sans doute l'inaccessibilité qui en fait le prix. Superbe!
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