J'ai suivi ton amour, dans le fond de la vallée ;©Ce texte est protégé par un copyright.
Mes vers sont tous près de toi, ils ne sont plus à moi.
Ton visage est altéré des regards du soleil.
Ta blancheur sous la ronce est sans pareil
J'ai suivi ton amour, dans le fond de la vallée ;
Des crie lointain partout m'ont appelée.
J'ai couru : tu t'enfuyais sans doute loin de moi :
C'était ton plus beau regard que tu me fais connaître
Où serais donc tes passions, où tu les mènes paître,
Pour que je cesse afin de courir sur tes pas
L'amour ne t'est pas étranger, pour que tu ne m'y conduises pas.
Laure j'ai vu une poétesse, qui chante ainsi :
Ô mon jeune amour ! tu rougissais devant moi.
Je voyais ton visage sans couleur ; Qui pâlit pour toi :
C'est ton front angélique, ta douceur, ta décence ;
Viens mon amour. Il y a d'autres jeux que ceux de l'enfance.
Ô ma jeune ingénue, viens connaître mon cœur
peindre l'amour sur ton visage, oublier la douceur.
Ma laure si amoureuse, sur ton front la sensualité réside.
Ton regard est celui d'une madone timide.
Ton sein limpide, que ton corsage ose cacher au jour, -
Avait l'apparence encore ignorée d'un soupire d'amour.
Qui te connaissait de moi. Viens amour, je veux te l'apprendre ;
Viens redonné en mes mains ton âme chaste et tendre,
Afin que mes vers amoureux, sois moins timide que toi, .
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