La preuve du contraire.©Ce texte est protégé par un copyright.
Puisque rien ne va assez vite alors je prends mon temps.
Auprès, je n'en aurai pas plus qu'au vent.
Il y a deux contraires à "venir". Rester là ou partir.
Ce n'est pas ce qui a toujours été le plus long a choisir.
La vie est empêtrée dans l'instant.
Après n'est plus comme avant.
Que l'on s'endorme dans les normes, normalement.
Il n'y a rien de plus normal, finalement.
Les traces de vie des caresses n'existent pas.
La vie m'assassine, à petit feu elle me cuira.
Je croyais que c'était trop fort pour que ça dure longtemps.
En fait c'était trop mou, quelque part j'aurai dû être content.
Tu es dans un sens contradictoire et tu fais durer le provisoire.
Moi, je tourne en rond, j'ai pris un giratoire.
C'est invraisemblable et tu peux me croire,
J'en ai perdu l'oubli dans un trou de mémoire.
Fais moi de la lumière, je veux que tu m'éclaires.
J'ai pris les devants pour ne pas rester derrière.
Il faut dire oui à tout, non au contraire.
Les abus sont négatifs, il va falloir les soustraire.
il me faut des revenus pour que je reparte.
vaut mieux un pied à terre qu'un doigt sur la carte.
je suis une tête de lard en l'air et puis j'en ai "rien a faire".
il n'y a que six pieds sous terre que je pourrais me taire.
Tu ne sais pas ce que tu veux mais tu exiges.
Tu crois que tu es un prodige?
Tu es au bord du vide et tu n'as même pas le vertige.
Tu te prends pour le roi de la voltige.
Quand le choix est unique, tout simplement ça complique.
Machinalement mécanique c'est carrément cyclique.
Les gens qui trouvent le temps long ne vieillissent pas moins vite.
De toute façon, leur fin est prescrite et je ne connais pas la suite.
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