Irréelle et imaginaire.
Jeune Fille , dans ces rêves imaginaires ©Ce texte est protégé par un copyright.
La jeune Fille qui marche dans les rues de paris le soir ...
Se promène sous le regard des lumières des étoiles.
Son désespoir s'enroulait au ciel dans ses grandes lignes.
Et la jeune Fille regarda le ciel avec ces rêves illuminés.
Que seule elle a respiré dans le vent du soir, l'odeur de Dieu.
Les engourdissements de la nuit se déployaient comme l''éclat de ses yeux.
Les vitrines allumées, la foule sur les boulevards déambule,
Ou venaient encore s'ajouter, le pour et le contre.
La jeune fille ne pouvait être vue que par des silhouettes
Et-je affaire à cette jeune fille du couchant du soir .
À la peau d'une grande blancheur immaculée,
Blanche sur le fond de nous-mêmes que nous appelons nos pensées.
Nos poésies prenaient feu lentement sous le ciel de nos vers.
La jeune Fille sans ombre marchait vers le Pont-au-Change.
Près de Notre-dame, on entendait son Cœur,
Mais leurs sons n'étaient plus les mêmes.
Les espérances de la nuit étaient enfin tenues.
Les étoiles voyageuses, volent des baisers sur ces lèvres .
La jeune Fille se voilait sous des sens parfaits.
Une jeune Fille marchait d'un pas gracieux en plein Paris.
Et son regard profond, s'allumait sur la voie lactée.
Mais je ne voyais personne, habités par un brun d'humanité.
Des survivants qui ne survivent plus dans une société de surconsommations.
Les uns comme les autres ont l'air de nager dans un monde stérile.
Et dans l'amour de la jeune Fille entre un peu de leur substance.
Elle les intériorise, pour eux mêmes .
Mais elle n'était l'objet d'aucune puissance sensitive.
Et pourtant le champ des étoiles, la nuit chantait pour la jeune fille .
Un soir près de la seine argentée, Le Pont-au-Change lui avait parlé.
Elle avait jeté un coup d'œil, sur la nuit .
Et la lune l'éclaira ...
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