Par hélène
Texte daté de 2011/03/11
...Et pour les montagnards qui savent à quoi ça rime...
Jour blanc
C’est une journée perdue, c’est une journée pour rien,
La douleur me perclus, la muse fait sa belle.
Il faut savoir la vivre et n’y mettre aucun frein,
Penser et convenir que tout se renouvelle.
Demain sera nouveau et l’avenir certain
Tous les signes réunis, oracles et aubaines
Ont vu le temps venir d’un monde opportun
Où l’homme saura vivre, juste pour sa gouverne.
Il cessera de courir après toutes ces merveilles
Qui de technologies ou qui des magasins,
Revenant à ses sources, témoin de l’essentiel,
Le cœur prêt à s’ouvrir au très piteux destin
Qui s’attache à toute vie, la dame, elle éternelle,
La faucheuse infinie qu’il fuit comme une teigne.
Commentaires (8)
Posté par
hélène
le 11/03/2011
Merci Nouga. Contente qu'il t'ai plu
Posté par
etsivousosiez
le 11/03/2011
La douleur...parfois l'on aimerait qu'il n'y ait pas de lendemain... mai sl'on se dit que peut être... et puis l'on recommence à dire et s'il n'y avait pas de lendemain...mais peut être...
Posté par
Gallaumar
le 11/03/2011
Beau poème qui mériterait de se travestir en sonnet!!!
Posté par
Gilbert
le 12/03/2011
De vos vers bien charmants
Je suis tout "allumé",
Recevez compliments
D'un bon vieil emplumé.
Je suis tout "allumé",
Recevez compliments
D'un bon vieil emplumé.
Posté par
hélène
le 12/03/2011
Allumé par des vers, voilà une drole d'idée,
Mais je veux bien confrère, être votre clarté.
Et si ceux-là ne furent pas évident pour moi,
Je lis les commentaires avec beaucoup d'émoi,
Préférant toujours plaire à un vieil emplumé,
Maniant avec verve sa plume, digne d'un roi.
Mais je veux bien confrère, être votre clarté.
Et si ceux-là ne furent pas évident pour moi,
Je lis les commentaires avec beaucoup d'émoi,
Préférant toujours plaire à un vieil emplumé,
Maniant avec verve sa plume, digne d'un roi.
Posté par
Within--Lara
le 12/03/2011
Très beau poème ! Je reviens de mes vacances en montagne, et je le trouve tout à propos, d'une très délicate poésie me semble-t-il... J'apprécie particulièrement le deuxième sonnet.
Posté par
silverfox199
le 13/03/2011
Portrait de la vie trépidante des villes
Qu'on la vive à 100 à l'heure, les milles
Ou qu'on veuille plutôt, aux sources revenir
La grande teigne nous fauchera pour finir
Ghjslain
Qu'on la vive à 100 à l'heure, les milles
Ou qu'on veuille plutôt, aux sources revenir
La grande teigne nous fauchera pour finir
Ghjslain
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beau texte