se plonge dans un monde ténébreux .
La couleur des saluts mythiques,©Ce texte est protégé par un copyright.
La couleur des saluts mythiques,
S'enténèbre jusqu'à nos moindres râles :
Calme des plaintes relatives,
Enceinte de nos tourments malgré l'odeur,
D'où le sang coulait, d'une limpidité si mélancolique.
Il y a cependant un peu plus loin,
Une crevasse de glaciers sans profondeur,
Qui attirait tous nos regards,
C'était un abîme de joies répétées.
Simplicités des lunes antiques,
Dont vous étiez le reflet de vos vers,
Mystères pour nos yeux, espace si infini, en ces lieux communs.
À ce paysage du ciel, qui nous appartient,
Sans doute le privilège délicieux de cueillir tes lèvres, sur ces montagnes.
De dune et de fossiles, dans ces angoisses serpentines.
On ne savait jamais, ce que les demoiselles de ces pays,
Sans or apporterons dans leurs amours condensées.
L'éminence de leurs péchés, est baignée de ces acides.
Légèrement colorés de leurs scrupules vanités ;
La chimie organique de nos mensonges, avait fait de si grands progrès.
Dans cette vallée, les fumées de nos égoïsmes se répandaient,
Comme pour un sabbat de la mort de tous nos sentiments,
L'amour s'était donné rendez-vous.
Et on entendait les cris d'effroi des goélands égarés, dans une terre déshumanisée.
Traduction spontanée et morbide du langage des peuples outragé.
L'âme vagabonde jette un liquide huileux et la mer change de couleur.
Sur ses plages des galets tachés du sang,
Des agonisants de toutes les guerres.
On pouvait saisir, les tendres murmures des astres.
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