Par silverfox199
Texte daté de 2010/09/28
Comme disait la chanson : "Le téléphone c'est tout l'contraire. J'voudrais qui sonne lui y veut s'taire"...
C'était l'automne, un automne où il faisait gris, une saison qui n'existe que dans le fin froid du nord de l'Amérique, le royaume apathique (mélange de textes...)
C'était l'automne, un automne où il faisait gris, une saison qui n'existe que dans le fin froid du nord de l'Amérique, le royaume apathique (mélange de textes...)
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La ligne
Depuis que tu es partie, c'est l'ennui
Et puis aussi, que de pluie, jour et nuit
Le vert des feuilles bientôt fera place
Envers de l'oeuil, aux regards de glace
Tant et tant la pluie tombe et il fait froid
Lors que l'été s'estompe, me vient l'effroi
Et si me retrouvais seul à jamais
Alors que je suis fin seul, déjà, mais
Oh! Quel mauvais sort, quel affreux destin
Dans mon coeur, trésor, malheureux dessein
Et encore un autre jour à la flotte
Ma solitude toujours me sifflote
À l'oreille, que fais-tu, où es-tu ?
Et je veille, ta ligne qui s'est tue
Isatis, 28 septembre 2010
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J'ai entendu l'appel de tes vers.Je ne sais même pas si tu vas les aimer ces mots .
Le téléphone ne pleure même plus.
Un ordinateur donnera l'heure tue même.
L'embrun est sans emprunt.
L'amour somme toujours.
Mais la lumière éclaire les coeurs quand même.
Amitié