La pierre finit par rouler,
Ce triste fardeau,
Seul il se porte,
Sur les airs d'un fado,
Les larmes ne font que couler.
Et la peine se faite rare,
Pardonner mais le pouvoir,
Et toujours airer agar,
Quand le geste,
Blasphématoire,
Cauchemar,
Des jours d'incestes.
Le brouillard,
Des nuits qui restent.
Et le temps a pris la peine,
D'effacer les souvenirs,
Et à l'encre indélébile,
La rancœur et puis la haine,
Se confondent à en souffrir.
De son art, il est subtil,
Le venin de ce reptile.
Et les yeux vont se fermer,
Et dans l'ombre se sont posés.
Vincent Belaribi Colin
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