Le marché
Le marché
Comme à sont habitude le soleil commençait à déteindre sur une ville à moitié endormie.
Mais, cette ville déserte comme inachevée par sont peintre , se remplissait d'une manière imprévisible dans un petit quartier populaire.
Sans doute le marché , le seul jour ou plusieurs oxymores s'oppose dans une masse d'inconnue répétant sans cesse des mouvements sans intérêt qu'on pourrait confondre avecune émeute.
A chacun sont habitude , le préssé bousculant et bousculant sans arret pour une raison quelquonque ,le vendeur ne vendant pas des produist mais plutot du rêve, l'acheteur envouté par n'importe qu'elle produit qui pourrait décoré sontcoeur.
Mais encore le senior , celui-ci se posant dans un coin isolé et narrant sans s'arreter le même discour depuis plus de 40 ans, ce discour :Nous à notre époque... ne finnisant jamais
pour cause le ,haussement de la voix d'un marchant occupé à convaincre une autre catégorie
de ce groupe , le râleur ! Celui - ci ne pouvant supporté aucun geste quelque soit son but de
la part des autres *ethnie* et pourtant avant de devenir ce qu'il est il appartenait bien a la catégorie de l'acheteur , corompue par la ruse du voleur se glissant derrière chaque passant en effectuant une valse si belle que les bijoux ne résistait pas à l'attirance de leurs poches.
13 heure sonnait déjà la rue était encore une fois déserte. Sans compté les pigeons finissant les reste des légumes qui n'avait pas trouvé une bouche assez généreuse pour le dégusté.
Eloge. Tete-Benissan 2012.
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