Le sonnet aux Amants (2)
à Maximilien
La vérité ne peut plus être maintenant
Aux yeux de ceux qui pensent encore impunément
Que l'Amour, la passion peuvent être contrôlés
C'est alors qu'on reproche aux Amants de s'aimer.
Mais le soleil s'est déjà couché tant de fois
Sur ces deux corps brisés par de tendres ébats...
On peut voir sur le visage de ces amants,
Une romance discrète et de doux sentimens.
Lèvres ingénues, passion cachée,
Rêves d'une nuit, immaculé...
Faudra-t-il toujours, Ô mon Amour, que je mente ?
Douceur candide, odeur sucrée,
Crime de coeur, vertue brisée...
Quand tes baisers enflamment mon âme dolente...
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