Lettre à l'Homme aux phobies©Ce texte est protégé par un copyright.
N'attributs pas aux maux sexuels,
Une réponse homosexuelle,
Comme le Sida et autres MST,
Écarte les fesses de ta cervelle,
Pour te faire "en...cultiver".
Les livres te feront la courte échelle,
Orgasme intellectuel, pour esprits étriqués,
Depuis Louis XVI, les mœurs ont bien évolués,
Guillotines donc tes préjugés.
Tu cites les Livres Saint et parles de fléau, d'horreur,
Et met en garde ta descendance,
Mais saches que la vrai bonté vient du coeur,
Eduques les plutôt à accepter la différence.
Ne leur dis pas que c'est une maladie, pauvre brele,
Mais juste une identité sexuelle,
Chacun choisit son sport, chacun sa vie,
Chacun choisit le corps de ses envies.
Tu dis que les homos ne sont pas des hommes,
Et les traites de petites pédales,
Mais saches que beaucoup, d'un revers t'assoment,
Ou d'un regard te font faire dans le futal.
Tu critiques les femmes homos,
Et te persuades que dans leurs intimes scènes,
L'une d'elle joue forcément les mécanos,
Avec carrure de mec et regard de teigne.
Pourtant tes fantasmes t'emmènent,
Sur des sites porno,
Matant de petites lesbiennes,
Bavant comme un crapaud,
Rêvant que leur langue soit tienne,
En trente secondes chrono,
Ta main, tes yeux vont et viennent,
Et tu cris : "Quelles chieeeeennes !"
En arrosant le lino.
Alors ne mélanges pas les torchons et les lesbiennes,
Tes films cochons reflètent une image vilaine,
Et ne ments pas à ta libido,
Car sous le caleçon, c'est Pinocchio !
L'homophobie, ELLE, est une maladie transmissible,
Beaucoup d'homos sont en mode camouflage,
Et d'autant plus inadmissible,
On un comportement homophobe devant l'entourage.
La communauté gay à le droit d'exister,
De se pacser, de se marier,
De procréer, et d'adopter,
Elle doit être respectée et bien plus être acceptée.
Bien intégrer dans leur vie active,
A toute les branches, à tous étages,
De l'ouvrier aux hautes têtes pensives,
On te laissera pas faire leur élagage.
Alors halte aux gros mots, aux hauts mots,
Et aux faux maux sur les homos,
L'homophobie sur cette terre écoeure,
L'homme aux phobies doit faire taire ses peurs.
Alors plus l'homophobie montera en grade,
Plus perdureront les gays pride,
Tes peurs sont le berceau de ta haine,
Combats-les, pour que ta parano se freine !
Commentaires (7)
il faut aussi des textes, pour faire evoluer les mentalités
juste , avant louis xvi il y avait des moeurs identiques cela a toujours existé,
mais le clergé comme dab se la jouait morale en disant son horreur, on voit que cela est faux tant eux aussi leur sexualité les remet en question
si la sexualité doit remettre en question, mais je ne le crois pas
De quoi faire un plébiscite
Trop hélas et malgré
Subsistent les préjugés
Et quand de sexualité
Il est comme ici question
Tout doit encore rester
Caché, c'est là, dérision
Ghjslain
Je suis absolument d'accord et adhère également
Rien n'est trop grave quand le cœur n’a pas froid.
Et je me nourris de la chaleur de la Lumière en trois.
Même au cœur du clair obscur, son feu brûle en moi.
Notre vie est comme la météo du ciel l’écho d’une voie.
Tout temps a sa raison d'être. Son plan il te l’envoie.
Le vent souffle dedans, il te met au large dehors sans émoi.
Je le suivrai indolent compagnon du cœur de l’orage au détroit.
Si je dois faire naufrage, je m’accrocherai à mon voilage en soie.
Sur la vague à l’âme, la souffrance est la sœur de cœur de ton roi.
De l’encre de ma plume, j’attraperai un arc- en- ciel juste pour toi.
Je m’enivrerai de ton appel. Survivante d’une tempête d’effroi.
Comme un oiseau libre, je remontrerai sans regret mon choix.
Je crois qu'un clair de lune est libre de réfléchir la lumière du soleil.
Je dis bonjour au soleil.
Je dis bonsoir à la lune.
Mais après tout ma lumière est en moi.
Le clair-obscur naitra de mon propre regard.La pénombre naitra du crépuscule de mes pensées.
Le clair matin trace le chemin. Mes pieds marquent mes propres empreintes.
Que nos jours s'éclairent de notre lumière sans pénombre sans encombre. Voici le nouveau nombre d'un matin plus sain?
Pourquoi ne pas l'avoir posté
Directement là-haut, dis-moi
Beau matin tu as composté
Ghjslain
Tu lis clairement dans mes pensées que je ne peux m'empêcher d'imaginer si tu ne peins pas aussi des tableaux lumineux.
commentaire
J'adhère.