Masse ignorante qui jouit d'engins sophistiqués,
Accepterais-tu bien que je te fisse tiquer,
Glissant dans ton oreille des mots bien astiqués,
Ironisant, féroce, sur tes jouets plastiqués,
Ces merveilles de la Science que nul ne comprend plus ?
Il y a un précipice entre nous et nos mages,
Et, pour toutes les merveilles qui, dans nos bras, ont plu,
Nous sommes reconnaissants et leur rendons hommage,
Sans redouter le vide, sous nos semelles, avide.
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