Par hélène
Texte daté de 2011/02/22
Savoir se soumettre aux rythmes du stylo...
Maître ô vers !!©Ce texte est protégé par un copyright.
Ô temple de mes rêves, à l'avenir sans fin,
Que j'aime vous parcourir, sous forme d'alexandrins.
Vous êtes ma sortie, mon monde imaginaire,
La route de mon soi, ma précieuse grammaire.
Me passer de transcrire vos rythmes et vos sons
N'est plus une voie à suivre, vous êtes ma saison.
Ecrire de ces vers est devenu mon vice,
De la fange de vos lettres, j'aime faire un délice.
Vivrais-je loin de vous, plus de 48 heures,
Déjà vous manqueriez aux affres de mon cœur.
Il se nourrit de vous, vous êtes le pain béni,
Auquel j'accorde grâce et même tout crédit.
Car en comblant ainsi les abimes de mon être,
Vous m'êtes devenu aucunement Dieu, mais maitre.
Commentaires (5)
Posté par
nouga
le 23/02/2011
quand les vers influent sur ta vie, te rendant (esclave) mais d'une prison dorée, alors ecrire devient l'aboutissement d'un chemin que l'on ne cesse d'emprunter
Posté par
silverfox199
le 25/02/2011
Très joli Hélène, très inspirant
La poésie, je ne saurais vivre sans
La poésie, je ne saurais vivre sans
Posté par
Gilbert
le 16/03/2011
De tous mes sens que je recense
Il en est un qui fait défaut,
Et le Cajun l'a comme il faut:
c'est de penser... là est l'essence.
Il en est un qui fait défaut,
Et le Cajun l'a comme il faut:
c'est de penser... là est l'essence.
Posté par
FLORAPOESIE
le 31/07/2011
Bonjour Hélène
La muse est bien lumineuse.Votre poème éclate de mile feux.Vraiment radieux.
Félicitation.Continue donc de nous éblouir.
Amitié
La muse est bien lumineuse.Votre poème éclate de mile feux.Vraiment radieux.
Félicitation.Continue donc de nous éblouir.
Amitié
Posté par
hélène
le 31/07/2011
Merci infiniment Florapoésie car en plus vous me permettez de me relire...ces jours, il est vrai, j'écris peu. mais votre plume fleurie est fort plaisante, amie. je vous lis aussi. Merci encore
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