Mes vers peignent,tes lèvres complaisantes.©Ce texte est protégé par un copyright.
Mes vers peignent, tes lèvres complaisantes.
Aux signes de l'amant, statue obéissante,
S'enflammant au seul contact d'un feu contagieux.
Ainsi, quant au hasard d'un corps harmonieux.
S' agitant dans la fièvre amoureuse, aux plaintes sonores,
Mes ressouvenirs au loin que l'on négligerait encore.
Et ces rêves de Laure, qui retentisse, éveillée à ce bruit,
Et. s'unissant aux étoiles, qui l'écoute et la suit.
Aux bords où l'on voit naître l'infinie et le jour,
Plus de vicissitude et de crainte environne l'amour. ..............
Je la regarde.Et sans pouvoir parler même de ces yeux,
On se parle sans mots dires, et je regarde ce cœur ingénieux.
Laure donne à mes vers une voix, que l'on écouterera
muette,
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